mardi 31 août 2010

UN FESTIVAL D'ART ET DE LA CULTURE ( FAFARE) EN VUE

FESTIVAL ARICAINE DES ARTISTES EMERGENT (FAFARE)

INTRODUCTION
Bien qu’aujourd’hui La vie culturelle a une telle diversité de tons, de formes et de sujets qu’il est difficile d’aller voir tout ce qui se fait. De même, qu’il est tout aussi ardu pour une association de montrer à tous son engouement pour la culture. Comment, alors, se faire plaisir tout en se faisant plaisir aux uns et en rendant service aux autres ? D’où l’idée de se regrouper, d’innover ensemble et d’exposer en commun serait une solution fiable et nécessaire. Ce festival culturel regroupera une multitude de projets dans le but de promouvoir, d’exposer ou de proposer différentes œuvres aux profits de tous. Ceci est le moyen de faire se rencontrer différentes activités culturelles, de rassembler des associations de même caractère autour d’un même thème et d’échanger des relations. La foire, nous la voulons une manifestation à caractère joyeuse, ludique, autant qu’informative et éducative et nous la plaçons sous le thème : promouvoir l’art à la base – c‘est promouvoir le métier du future – et promouvoir la culture de la paix pour une Afrique unie.
     La foire Africaines des artistes en herbes est un rassemblement annuel des jeunes talents Africains cachés qui n’ayant pas les moyens de prouver leur savoir faire, pourtant qu’ils sont nombreux à vouloir nous donner les merveilles de leurs œuvres mais hélas. J’ai toujours dis que du talent sans argent n’est que ruine du savoir d’où le estival pour mettre à la disposition du talent les moyens nécessaires pour pouvoir s’épanouir.
     En effet elle consiste en sa première édition de poser des jalons d’une nouvelle institution que nous dénommons Emergence Academy. Cet édition doit rassembler des jeunes Africains et de sa diaspora faisant dans l’art et dans la culture dans son ses large : musicien, danseur, chanteur, peintre, ébéniste, sculpteur, bijoutier, styliste, mannequin, et autres d’exposer, de vendre, d’innover, de se mesurer et d’échanger leurs connaissances lors des différents ateliers qui seront organiser à cet occasion.
     Cette foire est organiser dans l’intérêt de venir en aide à cette couche de la société qui est oubliée et marginalisée en lui donnant un cadre idéal et propice pour son épanouissement, et de conserver des tels talents que le continent perd chaque année. Ils vont exposer et vendre leur savoir faire, et se mesurer pour se faire distinguer. Les festivités doivent s’étendre sur sept à dix jours de préférence pendant la fin d’année d’où le choix du mois de décembre et pendant les congés de noël pour des raisons suivantes : les élèves et étudiants seront en congés, la population en préparatif des fêtes serait moins occupée et manifestera un engouement spécial pour des tels divertissement. Les parents permettront aux enfants de s’y rendre à la foire et une occasion de s’en procurer des cadeaux de fin d’année pour la famille et pour nos partenaires.
     Depuis la nuit des temps, ce manque d’intérêt à cette couche défavorable d’artistes a permis la fuite de nos cerveaux alors il est grand temps que ça change. Puisque tout changement doit commencer par la base, cette situation nous oblige à organiser un festival uniquement pour les artistes en herbe afin de sortir ces talents sous l’ombre vers la lumière. Nous pensons que l’art et la culture devraient faire partie prenante du programme scolaire surtout dans l’éducation de base et le premier cycle du secondaire mais comme l’heure n’est pas encore venue aux éducateurs de faire savoir aux parents et aux élèves que l’art est un métier d’avenir, il est donc de notre ressort, vous et moi de faire cette sensibilisation ; d’où l’intérêt de l’organisation du estival. Ce festival devrait éduquer, contribuer à l’animation locale, promouvoir un genre artistique et promouvoir les artistes locaux. N’a ton pas dit qu’aux hommes bien nés la valeur n’attend point le nombre d’année ? Pourquoi ne pas donner à tous les mêmes chances.

mardi 17 août 2010

TCHAD-ACTU les infos du tchad pour l'Afrique et les infos de l'Afrique par leTchad

Le président de la république du Tchad en visite au Bénin pour les festivités marquant les 50ténaire du Bénin laisse de l’argent aux peuples Tchadiens résident à Cotonou reparti de façon suivante : 30 000euros pour les élèves et étudiants, 10 000euros pour les différents bureaux blanc de Cotonou et aussi une enveloppe pour les commerçants. Au sein des étudiants la tache n’avait pas été facile pour le comité chargé du partage car il y avait là des étudiant de Lomé et du Burkina Faso présent ainsi que des stagiaires policiers qui ont estimer le partage des 30mille euros en deux entre étudiants et stagiaires alors qu’ils n’étaient que (5) ou (6). Il aurait fallu l’intervention des autorités pour que le partage soit fait face à l’égoïsme des stagiaires qui se retrouvaient avec plus de 530 000fr CFA chacun alors qu’élèves et étudiants se retrouvent avec une maudite somme de 24 000fr CFA chacun. Voila ce qu’on dit les étudiants : « cette argent nous a été très nécessaire car il est arrivé au moment où les conditions de vie devenaient plus difficiles et surtout que les parents se lassaient vu le poids de leur charge vis-à-vis de leur salaire. Nous demandons au chef d’Etat augmenter le salaire des fonctionnaires Tchadiens et de nous venir en aide au moins une fois par trimestre, (3) ou (2) fois par ans et nous lui serons très reconnaissant. » Sur ce, on se dit à très bientôt pour des nouvelles infos.


Mercredi 11 Août les intellos et la diaspora Tchadiens se réunissent pour faire un point sur la situation au Tchad et faire le bilan de 50 ans du Tchad. D’aucun disent que le Tchad en ce jour est loin d’être un Etat nation et d’autre disent que le gouvernement doit revoir son secteur éducatif, sanitaire et agricole : (parole des spécialistes en la matière). Paradoxalement le président Idriss Deby est élu meilleur président Africain par : un tabloïde Nigérian ; preuve que le nouveau gouvernement du Tchad s’est mis au travail et nous espérons que c’est pas seulement pour les élections à venir car nous suivons de bout en bout les interview du président de la république, de son premier ministre Emmanuel Nadjingar et celui du ministre des affaires étrangères Moussa Faki Mahmat.
      
      « Certes géographiquement nous sommes loin du pays mais nous vivons les réalités au quotidien car nous sommes en communion avec notre pays le Tchad que nous aimons tant et qui nous est sis chère » disent les jeunes Tchadiens résident en Afrique de l’ouest. Durant le mois de février et mars de l’année 2010 le gouvernement de Deby a fait une déclaration : d’ici la fin du mois décembre 2010 le Tchad sera alimenté en électricité par le barrage hydroélectrique de lagdo au Cameroun, en milieu de l’année 2011 les Tchadiens verront du ciment et de la chaux produit par le Tchad et vendu à moindre coût et la fin de la construction de la raffinerie de Ndjaména pour voir le rabais du prix des produits pétroliers ainsi que la fin des chantiers en cour et le début des autres chantiers.

« Nous avons tellement des petits projets à faire au pays mais il y a un problème celui de l’énergie car il coûte le plus chère au monde » disait un commerçant Tchadien résident à Cotonou au bénin. Tant d’autres hommes d’affaires et entrepreneurs tchadiens résident au Nigeria ou au Cameroun se plaignent du problème énergétique au Tchad ; la cause de leur résidence hors du pays.
      Nous espérons franchement qu’un changement positif s’opère au Tchad pour enfin voir les fils du pays retourner et contribuer au développement du pays car volonté y est. Nous demandons au président Deby et à son premier ministre Nadjingar de rabaisser le coût de l’impôt, de revoir le coût des différentes taxes municipales, les taxes du ministère du commerce et des autres secteurs en rapport avec le commerce au Tchad. Pour obtenir une autorisation administrative ou une licence de fonctionner on a vraiment du mal car à chaque secteur il faut corrompre des agents pour faire avancer le dossier. Il faut assainir la corruption que font les agents municipaux, ceux des impôts et du ministère du commerce et vous verrez l’émergence des jeunes entrepreneurs et hommes d’affaires Tchadiens et étranger au Tchad.
     Nous pensons qu’il y a autant des choses à faire pour prospérer notre pays car nous avons les atouts. Nous disposons de tous les moyens nécessaires pour nous hisser à la haute marche du podium. Avec un peu de la volonté du politique le Tchad peut être un exemple, une référence et un miroir pour l’Afrique centrale et même pour l’Afrique noir tout entière. Il y a un constat amer que nous faisons. Certains leaders, intellos ou membre de la diaspora n’adressent que des critiques à l’adresse des autres ; certes c’est bon pour le changement mais d’autres vont un peu plus loin et incitent au soulèvement de la population pouvant conduire à des guerres civiles ou militaires cependant ils doivent eux même se demander ce qu’ils ont fait pour leur pays et pour le peuple que de dire que telle ou telle autre personne n’a rien fait pour le pays. Nous déplorons de tels comportements car désormais nous restons objectifs et interpellons tous les Tchadiens à refuser la compagnie des gens pessimistes incitant toujours à la révolte. Il est temps que nos mentalités changent pour un changement positif de notre société. Nous devons enterrer la hache de guerre et moi qui suis porte parole de ce collectif des jeunes Tchadiens je vous parle entant que témoin et victime des conflits du Tchad voila pourquoi je me suis retrouver hors de nos frontières. J’avais une haine pour tous ceux qui sont cause de cette déchirure du peuple Tchadien mais aujourd’hui cela n’est plus qu’un souvenir. Je vois devant et je reste positif car nous avons été les sujets de l’histoire et la vie doit suive son cours. Plus de haine, plus de rancune amour paix et développent.